[Récit] T-Mobile : Le renouveau

Bon je suis en train de faire un récit écrit sur une carriere T-Mobile sur le forum de jv.com, alors je vous en fait profiter aussi, soyez pas trop méchant ...

Chapitre 1 : le tournant de ma vie

11 Décembre 2006.

C’est a cette date que ma vie se bouleversa. Je me nomme Jordi Servant, je suis allemand d’origines française, en effet ma mère Pauline se maria en 1960 avec mon père berlinois Jan.
J’exerce alors la profession de directeur sportif d’équipe cycliste continentale amateur allemande méconnu, sans grande réussite je vous l’accorde, le Team Ista. Je réside à Berlin et ma vie est plus que monotone, je suis célibataire pris pas mon travail qui pourtant de réussi pas non plus. Mon entrée dans cette équipe fut un petit désastre, je ne réussi pas à motivé mon troupeau de coureur, et l’entente au sein de l’équipe se dégrada de jour en jour. Sans la moindre victoire en Octobre il était évident que je n’allais pas résigné pour un ans.
Ce onze décembre, jour de déprime et de profonde réflexion sur ma vie le téléphone sonna :
- Allô ?
- Bonjour, je me présente, Bob Stapleton, manager général de la T-Mobile Team.
Abasourdis, je ne répondis rien.
- Puis je vous donnez un rendez vous, j’aimerai vous rencontrez pour vous confiez éventuellement le poste de directeur sportif de mon équipe.
- Bien sur, Mr Stapleton avec grand plaisir.
- Très bien, alors disons demain quinze heure, présentez vous à l’accueil et on vous conduira à moi. Au revoir Mr Servant .

Je peux vous dire que je n’en croyais pas mes oreilles, le manager général de la plus grande équipe d’Allemagne me voulais moi, directeur sportif de seconde zone, dans son bureau, pour me confier les rennes de son équipe.

Le lendemain, 12 décembre, jour de neige à Berlin, après une nuit blanche ou je ne pus fermé l’œil de la nuit je sortis de chez moi pour me rendre à mon rendez vous. Vêtis sur mon 31, coiffé le plus propre possible, j´arriva au siège de l’équipe T-Mobile. Premier choc, un grand bâtiment somptueux, rose et noir, futuriste, aux grandes baies vitrés sombres. Je rentre et me présente à la charmante secrétaire blonde.
- Bonjour, je suis Jordi Servant, j’ai un rendez vous avec Bob Stapleton.
- Bonjour Mr Servant, voulez vous me suivre, Mr Stapleton vous attends dans son bureau.
Après une paire de minutes à patienter dans le hall orné des trophées de guerres de la T-Mobile dont je suis admiratif malgré les scandales qui éclatent successivement…

La porte s’ouvre…
- Bonjour Mr Servant, enchanté !
Un homme aux cheveux grisonnant, le sourire aux lèvres m’accueille chaleureusement.
- Asseyez vous je vous en pris, désirez vous boire quelque chose ?
- Non merci sans façon, c’est un plaisir pour moi de vous rencontrez.
La voix tremblantes trahissant mon stress, j’essaya de parlez et de paraître détendu.
- Bon et bien alors discutons affaire, vous devez savoir Mr Servant que notre équipe traverse en se moment une grosse crise, l’affaire Ullrich, puis les aveux successifs des anciens nous on profondément blessé ainsi que l’image de notre équipe. Je veux donc montrer que la T-Mobile est une équipe propre et dynamique. Après les aveux de Rolf Aldag, je me suis vu dans l’obligation de le licencier, ainsi que les autres directeurs sportifs et le reste du staff, qui me paressé louche. Voyez vous, il me faut un directeur sportif jeune, ambitieux, qui ose et prends des risques. Bien que votre palmarès ne soit pas chargé de victoire, j’ai pu observé votre sens de la course lors de votre passage dans l’équipe Wiesenhof en 2005. Vous me semblez la bonne personne.
- Mr Stapleton je suis très flatté, venant de vous c’est inespéré …
- Vous prendrez vos fonction des à présent, les coureurs sont en Italie pour un stage en altitude, vous les rejoindrez demain en avion. Je ne vous cache pas que j’attends beaucoup de vous, mes objectifs sont grands : déjà, vous devrez des votre arrivé formé le staff, envoyé des éclaireur à travers le monde, faire le plan de près saison pour la forme des coureurs, définir avec eux les objectifs de course…
Vous avez carte blanches Mr Servant, à la fin de la saison, nous ferons le bilan, mais ne vous inquiétez pas, les coureurs sont très motivés.
- Très bien, vous pouvez contez sur moi !
Je me força à paraître sur de moi, mais tout ces responsabilités dans la T-Mobile d’un coup, c’était beaucoup pour un directeur sportif de seconde zone.
- Et bien Mr Servant, bienvenue à la maison T-Mobile.

‘’Bienvenue à la maison T-Mobile’’, comment un jour j’aurais pu croire ça…
Je restai encore quelques minutes dans le bureau du Gm, ou il me présenta vaguement les coureurs et les objectifs de courses, les termes de mon contrat etc, entrecoupés de quelque plaisanteries bienvenue qui détendirent l’atmosphère.

De retour dans ma villa de directeur sportif de seconde, mes valises faites, je pris soin de ne pas oublié le dossier ou figuré la fiche des coureurs et tout les document officiel du directeur sportif de la T-Mobile.
Je m’envole pour l’Italie, les Dolomites, ou je rejoint les coureurs…

Chapitre 2 : La pré saison !

14 Décembre 2006

Il n’est que 8 heures, j’ai passé une partie de la nuit dans l’avion, je n’ai pas dormi. J’ai examiné mon dossier, prévu des plans d’entraînement, prévu les objectifs. Et la plus grande tache, j’ai choisi le staff, enfin, une partie pour le reste une réunion générale avec Mr Stapleton, le staff et les coureurs doit avoir lieu a notre retour à Berlin.
J’appréhende un peu le premier contact avec les coureurs, réaction normale mais assez inutile, les coureurs ont l’air sympathiques sur les petites photos sur mon dossier.
Un petit topo m’ai donné sur les principaux coureurs.

Michael Rogers : Coureur assez discret et en retrait, il a beaucoup de talent mais a du mal à confirmer son bon début de carrière. Il est totalement dévoué a l’équipe. Vous pouvez comptez sur ces bonnes capacités en montagne pour un grand tour, et c’est aussi un très bon spécialiste de l’épreuve chronométré.

Kim Kirchen : Le coureur luxembourgeois est un grand professionnel, sérieux dans le travail, il a beaucoup d’ambition personnelle, mais il est aussi très dévoué à ses coéquipiers. Coureur complet, vous pourrez avec lui misez sur de bonnes places dans les grands tour, et une possible victoire sur une classiques vallonnés.

Linus Gerdemann : Une boule d’énergie ! Ce jeune coureur à un très grand potentiel, il est très complet et ça sera certainement la pièce maîtresse de notre équipe. Il pourra gagner un grand tour. Il est aussi doué en contre la montre. Sachez le contrôlé, l’entraîné correctement et nous sommes sur que ce coureur fera de grande performance.

Andreas Klier : Andreas est un équipier de luxe pour Marcus Burghardt sur les pavés, il est totalement dévoué à l’équipe et vous devrais lui faire penser a lui de temps en temps. Il sera très utile à l’équipe.

Bernhard Eisel : Ce jeune sprinter autrichien à beaucoup d’expérience malgré son jeune age, grâce à la formation de l’excellent Marc Madiot. Il aime les sprints compliqué et peu ce faufilé dans le plus petit trop de souris, et peu battre ces adversaires grâce a sa grande éxplosivité. Il est assez complet car c’est aussi un bon rouleur et il passe bien les pavés.

Marcus Burghardt : Ce jeune allemand sera le leader de l’équipe sur les classiques pavés, c’est un gros gabarit, très puissant en plaine et qui sais se faire mal et se dépasser pour gagner. Il a la capacité d’attaquer au bon moment pour rallié l’arrivé en tête. Il est plaisantin, et il met une bonne ambiance dans l’équipe.

Jakob Pill : Ce coureur expérimenté est le capitaine de route de l’ équipe. Il remonte le moral des troupes, porte les bidons, bref un équipier modèle. C’est un très bon rouleur, premier élément de la fusée pour lancé Mark Cavendish et Bernhard Eisel. Il aime également attaquer de loin, ce qui lui a souvent réussi.

Gérald Ciolek : Ce jeune de sprinter de 20 ans et un peu tout fou, il à besoin d’être formé et d’apprendre le métier pour devenir l’un des meilleurs sprinter, il a beaucoup d’avenir. Il apprends le métier au cœur du sprint, car il est le dernier élément de la fusée pour lancé les sprinter.
Giuseppe Guerini : Le leader de la vieille époque de la Deutsch Telekom, il a gagné dans sa jeunesse des étapes mythiques sur le tour de France notamment à l’alpe d’Huez. Il est aujourd’hui le capitaine de route de l’équipe dans la montagne, et fait un gros boulot dans la montagne pour les leaders.

A lire ça on peu tout gagné, une équipe expérimenté mais jeune, très complète, ambitieuse. Maintenant il me tarde juste d’être en course dans le voiture a coté du mécano, dans l’action.

Vers environ 11h30, j’arrive à l’Hôtel Di Grandi dans les dolomites, station de ski entouré de col mythique du Giro.
Je me présente à l’accueil, et on m’accompagne dans la partie on l’équipe se trouve.
Le mécanicien de l’équipe m’accueille avec un sourire sincère, un bonhomme souriant au crane rasé, assez petit et maigre.
- Enchante Jordi, je suis Tom le mécano de l’équipe, les coureurs sont aller tourné les jambes dans un col ce matin avec le préparateur physique, ces faignant ne devrais plus tardé !
Il rit de bon cœur et je me joins à lui.
- C’est donc vous qui m’accompagnerez dans les courses ?
- Et oui vous devrez me supportez sur chaque course mon pauvre. Venez suivez moi dans la salle ou nous nous détendons.
Une salle aux couleurs de la T-Mobile, sur les murs des photos des anciens coureurs, un bar, un flipper, un baby foot, un billard, une télé, des canapés, bref une salle de détente.
- Ah voici les coureurs Jordi !
Je vis alors le groupe des coureurs, tous souriant, riant de bon cœur, enfin pour les premiers certains, non grimpeurs avaient plus de mal à rire. Tom était coté de moi et je vis que son regard était étonné de me voir contemplé ces coureurs comme si ils étaient dieu.
Je ris alors et il fit de meme.
- Mon rêve se réalise vous savez Tom.
- Oh je t’en pris tutoie moi nous allons passez la saison ensemble et la convivialité et bienvenue dans l’équipe. Il y a eu quelque tension à cause de l’affaire Sinkewitz mais tout les coureurs sont heureux de se retrouver ici pour le début de saison.
Bon la ils sont aux massages et ils vous retrouves dans la salle de conférence.
- Je crois que je vais allez faire un tour en vélo moi tient, le cadre est parfait, je n’ai jamais couru en Italie
Encore un rire partagé avec Tom. Oui car comme la plupart des directeurs sportifs, nous sommes cycliste avant, j’étais alors un jeune prometteur, en France on ne parlait que de moi, j’allais rejoindre les rangs de la Française des Jeux, mais une chute me fit arrêter la compétition à haut niveau, mais pas le cyclisme. Je fus consultant pendant beaucoup d’années sur Eurosport, chaîne française de sport, avant de me lancé dans la direction d’une équipe en 2004 ou je fus le 4eme directeur sportif de l’équipe Wiezenhof.
Tom se proposa alors de m’accompagné, j’acquis avec plaisir. Et nous voilà parti à un bon rythme autour de la station, pas loin bien sur. La pente était dure, je connaissais bien ces routes, faute d’avoir commenter le Giro quelques fois. Le cadre parfait fit un peu oublié les 7% qui commencé à ce faire sentir dans nos jambes, et nous rentrâmes à la station.
- Et ben je plains les coureurs, monté ces pentes à 15 à l’heure pendant 200 bornes, on comprends que certains et recours au dopage…
- C’est vrai c’est très dur, mais c’est ça le vélo …

Perdu encore dans notre dernière discussion, nous nous dirigeâmes vers la porte ou la plaque annoncé : Salle de Conférence.
J’entra et coupa le brouhaha de la conversation des coureurs. Ils étaient détendu et
apparemment content de me voir enfin.
- Bonjour à tous, je suis Jordi Servant, votre nouveau directeur sportif. Je suis très heureux de vous rencontrez et d’être a le tête de cette équipe. Ensemble nous allons parcourir les routes du monde entier et espérons pas pour rien ! Alors nous allons commencé des demain l’entraînement de pré saison, mais aujourd’hui repos et détente !
Tous se levèrent et nous nous regroupâmes, chacun me sera la main avec un petit bien gentil. Je vis des suite que l’ambiance était bonne enfant mais aussi sérieuse.
Linus Gerdemann invita tout le monde autour du billard, nous fîmes donc connaissance et chacun vint me posé des questions sur les objectifs, les courses, le staff etc…
Je retrouva Michael Rogers au bar, ou en barman de fortune il me servit un coca.
- Pas d’alcool en service boss !
Je ris de bon cœur et ajouta.
- Tu es le leader tu montres l’exemple c’est bien, quelles sont les préférences comme grands tour cette année Michael ?
- Et bien je n’ai pas de préférence, peut être le tour, mais c’est vous qui décidé !
Kirchen et Gerdemann, sortant visiblement d’un fou rire, s’exclamèrent :
- Moi j’ai le Giro, Linus la Vuelta et T-Mob fait le triplé !
Tout les trois ce mirent à rire, pas moi et je me dis, pourquoi pas.
- Pourquoi pas les gars, on va travailler pour ! Ce sera notre objectif sur les grands tours !
Kim dit :
- On à l’équipe pour, en tout cas heureux de voir que la T-Mobile à fait le ménage, et heureux d’avoir un directeur suicidaire !
Tous rirent encore de bon cœur pendant quelques minutes. Mais la rigolade ne pas, les jours suivant furent difficile pour tous, meme les grimpeurs. Les Dolomites sont impitoyables, et la forme des coureurs n’est pas encore optimale. Nous préparâmes avec Tom un plan d’entraînement basé sur deux sortis par jour, un jour récupération, un jour rapide.
Dernier jour en Italie, l’avion prévu pour le soir, j’accorda à l’équipe l’après midi de repos.
- Regardez boss, les journaux allemands ne parlent que de vous. Annonça Jakob dans son allemand à l’accent danois, donnant un résultat plus bizarre, dont Kim ne manqua pas de se moqué.
En effet, à la une du plus grand quotidien sportif, on lisait : MENAGE DANS LA T-MOBILE : LA SAISON DU RENOUVEAU.
- J’espère que cette fois c’est la bonne, tout le pays compte sur nous. L’affaire Sinkewitz à presque tué le cyclisme allemand. Dit Thomas Ziegler.

23 Décembre 2006

De retour au pays, je retrouva ma maison de directeur sportif de seconde zones. Je téléphona à ma mère en France pour lui annoncé que j’arrivé chez elle pour y passer noël. Et je partis aussi en France, profité d’un repos bien mérité avant d’attaqué une saison prometteuse.

Chapitre 3: Les choses sérieuses

1 Janvier 2007

Je suis de retour à Berlin, après un repos mérité dans le su de la France chez ma mère, étonnement, ici la neige à repris ces droits, et à peine rentré je me replonge dans le bain du cyclisme professionnel.
C’est à 15 heure que la réunion interne de T-Mobile à lieu avec Bob Stapleton, le staff, et les coureurs. Ayant un peu de temps libre, je fis joué mes maigres relations du cyclisme pour recruter un médecin miracle que j’ai connu à Wiezenhof, Hans Ruckert. Cet homme à la connaissance illimité en recette miracle accepta tout de suite mon offre, et j’en fus fort heureux, je pourrais prouver que des le premier jour je bosse.
M’ennuyant quelque peu dans ma villa berlinoise, je feuilleta les magazines de cyclismes et fis comme si je ne voyais pas les articles sur moi, même si il y en avait un toute les pages.
Une liste de coureur dont le contrat finissait cette année m’interpella, et j’établie une possible liste de recrutement : Popovych, Efimkim, Arroyo, Colom, Lopez, Mancebo, Villa, Ricco, Haussler, Kopp, Sieberg, Wegmann, et Evans, pourquoi ne pas voir grand.

C’est avec plaisir et impatiente que je retrouva la charmante secrétaire blonde, et le hall d’accueil, avant de rejoindre la grande table ou tout les membres de l’équipes étaient réunis.
Bob Stapleton, d’un ton grave, prit la parole :
- Bonjour à tous, nous sommes ici car nous avons différent points de la saison à fixé. Tout d’abord, commençons par les objectifs principaux. Jordi qu’avez vous prévu ?
- Et bien après avoir discuté avec le sponsor au téléphone ainsi qu’avec les coureurs, voici mes objectifs 2007 : Tour des Flandre ( Top 3 ), pour le Tour, on peut viser un top 5 avec Michael. Avec nos sprinter on peut visé une victoire d’étape, et pourquoi pas le maillot vert.
Nous voulons à tout prix remporter le Tour d’Allemagne, et la Vattenfall Cyclassics. Vous en pensez quoi Bob ?
- Et bien je trouve ça ambitieux mais réalisable. Michael étés vous d’accord pour un top 5 au tour ?
- Oui à 100 %, je viserai même le podium, et les contre la montre, cette année je sens que je peux faire de grande chose, et avec une équipe pareille, tout est possible.
- Et bien voilà qui me fait plaisir ! Quel seront les leaders sur le Giro et la Vuelta ?
Pour ces tours nous avons prévu un top 5 de Kirchen sur le Giro, et un top 10 de Gerdemann sur la Vuelta.
- Très bien très bien, Kim Kirchen peut aussi ce placer sur les classiques je pense.
- Oui c’est aussi au programme.
- Bon et bien je crois que nous avons fait le tour des objectifs, vous avez du boulot mon cher Jordi ! Je dois aussi vous dire que nous avons le sponsoring d’Adidas qui nous donnera un budget important. Maintenant abordons le sujet du staff, ils nous faut un médecin, trois entraîneur, et trois éclaireur.
- Le docteur Hans Ruckert à accepté mon offre, c’est un très bon médecin, en qui nous pouvons avoir confiance.
- Très bien c’est parfait, permettez que je me charge des entraîneurs, j’ai eu l’accord d’ami qui sont très performant, Mario Kammer, Klaus Heugel, et le célèbre Johan Museeuw.
- Pour les éclaireurs, j’ai passer des coups de fil dans la plus grandes agence de recrutement, et j’ai eu des contacts avec Franco Gestri, qui connais l’Italie comme sa poche, Mark Kell et Michael Wollman.
J’ai aussi établie une liste de possible coureur à recruter, selon notre budget et nos besoins : Popovych, Efimkim, Arroyo, Colom, Lopez, Mancebo, Villa, Ricco, Haussler, Kopp, Sieberg, Wegmann, et Evans.
- Nous verrons ceci en fin de saison, je crois que nous avons fait le tour de tout les sujets du jour, merci à tous d’être venu, et bonne saison !

jv.con

J'ai été banni de la communauté alors je m'exporte la ou je peux ...

Chapitre 4 :L’aventure Orientale !

20 Janvier 2007

Apres un mois d’entraînement intensif, je me prépare à partir au Qatar pour ma première course. 5 étapes, un contre la montre par équipe, 4 étapes de plat, beaucoup de vents, un terrain propice aux bordures, il faudra savoir en jouer.
Aujourd’hui je dois donner la liste des coureurs qui partent pour cette course de sprinter, je ne prendrais donc que des rouleurs, Mark Cavendish sera notre leader, et pour l’amener dans les sprints je prévois Pill et Ciolek.
11h30, après un petit tour de soixante kilomètre, les massages effectués, nous nous réunissons :
- Bon les filles, je vais vous donner la liste des coureurs qui partent au Qatar : les équipiers, Ziegler, Schreck, Klier, Grabsch, Hammond. Pour amener Mark Cavendish, Pill et Ciolek.
Alors bien sur on vise la victoire finale, il faut faire le meilleur clm par équipes pour pas perdre de temps et pourquoi pas en gagner. Les 4 étapes qui suivent, il faudra être costaud, il risque d’y avoir du vent et on va essayé de borduré pour éclaté ça.
Tout le monde est ok ?
Tous répondirent à l’unisson, visiblement satisfait de mes choix.
-Bon alors ça va, pour ce qui reste, deux groupes, un qui se prépare pour le tour de Majorque, et les autres qui travailleront encore pour optimisé la forme. On se rejoint tout à l’heure alors au bus, on part tôt, il faudra las bas faire une ou deux sorties pour s’habitué au climat, on à pas l’habitude de rouler sous 40° en Allemagne !

21 Janvier 2007, 21 heure

On pose enfin le pied au Qatar, le voyage fut long, la chaleur écrasante accumulé au décalage horaire, ça éprouve les organismes, et je dois annulé mes sorties, mieux vaut laisser le troupeau au repos.
J’ai examiné attentivement les profils des 4 étapes de plats dans le bus, lorsque on annonce à Radio Tour les favoris, aie, ça va être rude pour nous : Mc Ewen, Petacchi, Boonen, Zabel, Steegmans, Ventoso, Haussler, Fischer …
La réaction de Mark m’étonna quand je lui annonça les concurrents :
- Boss, je suis Mark Cavendish, je peux battre n’importe qui cette année, il n’y a plus meilleur sportif que moi.
- Oh je ne doute pas, je suis sur que tu vas gagné les quatre étapes !
Sur, pas tant que ça, mais si lui le dit …

26 Janvier 2007

Le repos dura jours 5 jours, et à ma surprise la condition physique des coureurs fut bonne, nous pûmes alors faire deux ou trois sorties de 80 kilomètres, les jambes tournent bien, on est optimise. Je dus rassurer Gérald Ciolek, qui au vus de la concurrence, ce demande si il arriverai a mener Mark à la victoire :
- Si il y a bien un coureur qui peut être le poisson pilote du british, c’est toi, il est très difficile c’est avec toi que ses sprints ce lancent le mieux. Regarde les autres lanceur, le vieux De Jongh et Steegmans qui préfère ne pas se relevé. Rodriguez ne fait pas le poids, Zabel et Petacchi ne se marchent pas sur les pieds…
- Si vous le dites boss, je ferai de mon mieux, ce tour il est a nous !
T’enflamme pas trop petit, je trouvais les coureurs un peu trop optimiste pour moi, mais c’est très bien ils doivent être les premiers à y croire !
Je rejoins Tom au bus, il nettoyais les vélos, et affina les réglages :
- Prépare nous ça bien, sinon je te vire !
Il rit de son rire si particulier et communicatif, tout le monde était stressé à quelque heure du départ de la premier course de l’année.
Pill, en bon capitaine de route, rassura Gérald une nouvelle fois qui ferait les cents pas à coté du bus.

Le speaker nous appelles, il est tant de partir, un dernier discours pour motivé les troupes et rappeler les objectifs, pas perdre de temps, et tenté d’en gagné un maximum sur Predictor ou la Quick Step. Tous acquiescèrent d’un signe de tête, Gérald paraissaient plus confiant. Et tous partirent vers le départ.
Je monta dans la voiture avec Tom, me chauffa la voix, je vais passé 20 minutes à hurler dans le micro…

On finit 4eme à dix secondes, ils ont tout donné, je suis très satisfait de ce contre la montre.
Avant le massage, je tiens à les félicité :
- Génial les gars c’est parfait, 10 secondes ça ce reprends en un sprint, je suis très satisfait vous vous étés donné a fond et moi aussi j’ai plus de voix ! Maintenant reposez vous bien, dormez et demain on attaque la course, faites pareil et c’est parfait !
La course parfaite, je compte bien le sortir, mon entrée en matière doit être réussi, je sais que tout les yeux allemands sont sur moi, et surtout ceux de Bob Stapleton.

Une dure nuit, dur de trouver le sommeil sous 30° la nuit …
Les coureurs sont éprouvés, aujourd’hui l’étape va être dure pour tout le monde. 160 bornes de souffrance !
Klier, un coureur très courageux m’annonce qu’il compte attaquer, j’accepte avec plaisir, les autres n’auront pas à rouler.
La course part dans maintenant 1 heure :
- Bon aujourd’hui pas de vent, tout le monde est crevé, on roule pas, Klier va partir devant vous restez derrière à l’abri. Mark n’a pas encore montré son niveau cette année, on ne vous attendra pas au tournant. Il faut en profité pour créer la surprise. Voilà allez c’est parti merde à tous !
Cette fois c’est la bonne ! Je monte dans la voiture et aide Tom à ranger tout les bidons, première course en ligne, tout le monde compte sur Mark.
Le départ est calme, Klier comme prévu se fait la malle, Radio Tour annonce que Dion et Bertagnolli prennent la roue, 3 gars ils n’iront pas loin.
Pendant 80 bornes, il ne se passe rien, Klier prends les deux sprints intermédiaires, il est virtuel maillot jaune pour deux secondes sur Zberg.
La Quick Step met en route, Predictor fait de même ainsi que Milram, ça roule fort, très fort. Certain on du mal à suivre, Klier et son groupe sont repris à vingt bornes de l’arrivé, ils ont bien résisté et je le félicite vivement au micro.
Pill me demande quand il doit remonter Mark :
- On attends le dernier moment ! Le dernier moment ! 12 bornes environ, Pill tu te places, Ciolek reste pas loin, des que le train est lancé, Ciolek tu prends la roue de Jakob et Mark tu laches pas cette roue ! Allez les gars on est bon la !
4 bornes, le train est en place, Hammond à merveilleuse placer Pill, Boonen est dans la roue de Zabel, Mc Ewen invisible comme toujours. Deux bornes Pill monte le train :
- C’est le moment à fond Jakob tu donnes tout allez ! allez ! Je vois tout sur ma petite télé brouillé, Tom est confiant est réagi vivement à chaque mouvement de nos coureurs.
La flamme rouge, je ne parle plus il ne m’entendront pas. Pill fait son effort, la Quick Step impose un trin parfait Zabel en profite, Mc Ewen est Petacchi ne sont plus dans le coup ! 400 mètres la Quick Step lance ! J’hurle dans le micro Ciolek lance son sprint à 300 mètres Steegmans fait un gros boulot Cavendish lance tôt 150 mètres il est en tête, Steegmans se relève Boonen lance Mark résiste plus qu’un boyau, il passe ! Zabel fait son effort sur la gauche, Mark n’en peut plus, Boonen s’impose devant Zabel et Cavendish, Mark résistera prenant une avance suffisante sur Haussler fini 3eme.
Bilan prometteur, il manque encore un peu de punch et de forme, mais il y arrivera.
Mark visiblement content de cette première course enlaça vivement Ciolek et Pill vint félicité les deux sprinter, je me joint à toute l ‘équipe pour félicité tout le monde, Mark ne peut s’en vouloir, la Quick Step était trop forte !

Ce matin je reçois un coup de fil de Bob Stapleton, il nous félicite vivement et je lui dis que tout se passera bien.
Mark et Gérald ont mal dormit, Ziegler à mal au genou droit, une mauvaise journée s’annonce :
- Bon aujourd’hui troisième étape, vous allez avoir mal aux jambes. 190 bornes dans le désert, faites votre maximum, on reste derrière quoi qu’il arrive vous ne roulez pas, Predictor annonce Mc Ewen affaibli et ne compte pas roulé, on laisse faire Quick Step. Ziegler tu t’accroches comme tu peux, si tu veux abandonné, on t’attends derrière.
- Non Non je tiendrai vous inquiété pas boss !
- Très bien, alors espérons qu’une échappée pas trop dangereuse partira, le vent est calme pour l’instant pour le train, on rajoute Hammond après Pill. Ciolek tu fera un relais plus court, mais tu donne tout sur 100 mètres, bonne chance à tous.

Personne n’étaient vraiment enthousiaste, comme d’habitude, le calme avant la tempête…
Tom, malade, dors sur son fauteuil, c’est horrible de faire du vélo ici, je m’occupe alors seul du ravitaillement. Klier me dit qu’il prends l’échappée :
- Boss je prends les roues des que ça part j’ai des bonnes jambes
- Très bien, tu es pas un peu suicidaire ?
- Si boss toujours !
Voilà un courageux, le reste de l’équipe, souffrante, entoure Mark dans les dernière positions du peloton lorsque Radio Tour annonce le départ l’attaque de 6 coureurs : Dion, Mori, Van Bon, Degano, et Klier.
- N’en fait pas trop Klier, plus l’écart est faible moins ça roulera après !
Le paysage n’avait pas changé depuis trois jour, du sable et une route qui coupe le désert en deux. 150 bornes plus loin, Klier ayant bien neutralisé l’échappée, La Milram imposa un petit rythme relayé par la Quick Step et la Gerolsteiner à 40 kilomètre du but. Plus que deux minutes pour Klier et son groupe, Mori tente le coup seul mais Klier fit encore son boulot à merveille lorsque les autres accélérèrent. L’écart remonta à 2 minute 30, Lefévère vint à ma fenêtre me demander de roulé, et je lui sorti l’excuse Klier, décidément ce mec était utile !

25 bornes, tout le monde s’endort mais l’arrivé se rapproche et Mark est toujours à l’arrière.
- Faut remonté Mark la, pas trop proche rester discret !
Klier est alors repris, et il eu droit à une blague de Tom qui fit rire toute l’équipe, même moi, le stress commence à monter et un peu de détente est bienvenue.
15 bornes, Quick Step et Gerolsteiner roulent ensemble et l’allure est très soutenue : Pill en places Hammond dans la roue allez les gars celle la pour nous !
5 bornes, tout est en place, Ventoso montre sa force, ce sprint promet d’etre serré.
2 kilomètres, notre train est prêt sur la gauche de la roule, sur la droite, le train Quick Step avec dans la roue de Boonen Zabel et Haussler.
Flamme rouge, on lance très tôt, Pill prends un relais monstre qui abasourdi Tom, 250 mètres, exténué il se relève et ne finira pas avec le groupe de tête, Hammond lance le sprint ! La Quick Step est surprise mais Hammond se fait vite reprendre par De Jongh. Del Nero emmène Ventoso qui a maintenant 20 mètres d’avance, Ciolek fait son effort il sort bien Mark ! Les autres favoris font leur effort mais Ventoso à déjà gagné, il a prit trop d’avance. Mc Ewen comme une fusée sortit de nulle part saute dans son sillage suivit par Boonen, Zabel explose mais Mark est enfermé dans le groupe derrière les trois de tête, il ne peut sprinter… Tom déçu injure les sprinter adverse, je tape sur le volant lorsque les résultats tombent : Ventoso, Mc Ewen, Boonen, Haussler, Fischer, Zabel … Mark finit 8eme, et est 10eme au général.
Pill finit à 2 minutes, Klier, dernier du général prends 10 minutes alors que Ziegler souffrant le martyre prends 19 minutes, une mauvaise journée pour la T-Mobile, à oublier.

4eme étape, le tout pour le tout. Bob Stapleton n’a pas été satisfait de la manière dont je mène la course et ne trouve pas l’équipe assez dynamique. Très bien, aujourd’hui, on anime la course. Et ça tombe bien car aujourd’hui le vent souffle sans pitié, nous allons faire des bordures et je compte bien explosé le peloton. Aujourd’hui, c’est quitte ou double.
Lorsque je monta dans le bus, les coureurs regardaient une chaîne sportive qu’ils éteignirent des qu’ils me virent.
- Bon les gars, Stapleton ne nous trouve pas assez actif. Aujourd’hui le vent souffle a 55 à l’heure. On réfléchira avec Tom, quand je donne le top, vous roulez tous sauf Mark. La Predictor est de mèche avec nous, quand vous sautez ils rouleront pour éliminé les dernier sprinter. Aujourd’hui on prends des risques on se montre, il faut changé cette image attentiste de la T-Mobile.
- Ils acquiescèrent, conscient que ces prochains 160 bornes vont leur tués les jambes.

La course par tranquillement, personne ne veut partir avec ce vent, même pas Klier qui à hérité du surnom le guerrier dans l’équipe.
- Vous faites quoi derrière ?! Remontez tout de suite, Ziegler ça va ?
- Oui boss j’ai plus mal, je suis dans le coup cette fois.
Miracle, il ne sera pas de trop ! 100 kilomètre, trop tôt pour mettre en route, lorsque le directeur de la Predictor m’annonce qu’il fait la bordure avec un coureur à 60 bornes, ils nous suivent et quand on saute ils mettent en route. Je suis d’accord et je rapporte tout ça aux coureurs.
60 kilomètre, Van Sumerren prends la tête, c’est parti !
- Go Go Go tous devant ! Mark ne lâche pas et Pill réserve toi un peu pour après !
Sa marche sa marche à 50 kilomètre l’écrémage commence, le peloton ne contient plus que 45 élément, tous les sprinter sont la apart Zabel qui se trouvait à l’arrière du peloton.
- C’est bien les gars faut souffrir pour gagner mais la c’est bien parti 45 gars continué !
- J’en peux plus boss ! Schreck, pourtant dur au mal saute, ainsi que le reste de mon équipe, seul reste Pill qui rétrograde pour protéger Mark à 20 kilomètre de l’arrivée.
23 coureurs à l’avant, c’est le coup du siècle ! Il ne reste que Boonen, Petacchi et Mc Ewen.
La Predictor met en route, Tom est soucieux mais Mark s’accroche bien, à l’arrière, les sept autres limite la casse. Pill, les jambes vides se relève après avoir encouragé Mark qui tient durement la roue de Mc Ewen. Le maillot jaune, Marcus Zberg est au plus mal est fini par sauté à son tour, laissant le groupe de tête avec 16 éléments. Les géants de la Predictor effectue un boulot monstre.
Petacchi n’est plus la, 5 kilomètre, Quinziato attaque et fera 3 kilomètre en tête, devant il ne reste que Sentjens, Mc Ewen, Cavendish, Wrolich et Quinziato reprit. Boonen victime d’une défaillance est a une longueur derrière. Ca se jouera entre Mc Ewen, Wrolich et Cavendish ! Les écarts ne sont pas énorme, Sentjens en remet une éliminant définitivement Boonen qui s’accroché pourant bien ! J’hurle de tout mon cœur dans le micro des encouragements lorsque Sentjens lanca le sprint, Mc Ewen dans la roue. Wrolich, surprenant tout le monde sortit de l’autre coté au 200 mètre, Mc Ewen prends la roue et vint le déposé sur la ligne.
Cavendish 3 eme de cette étape prends la troisièmes place du général derrière Boonen qui finira 5 eme et prendra le maillot, Mc Ewen victorieux est deuxième.
Content de ma journée, je descends de ma voiture avec Tom pour félicité tout le monde, personne de parle, ils n’en peuvent plus. Je les remercie, pas encore remit de mes émotions :
- Les gars, voila la course parfaite, Mark est 3eme et est relancé dans la course à la victoire, vous avez fait pété le peleton, et Bob va être aux anges. Demain, sprint massif c´est à Mark de jouer il faudrat ce surpasser, mais vous en êtes capable. Encore bravo. Personne ne pu sourire, mais je sentis leur satisfaction.
-Allez, au massages, reposez vous bien, vous en avez besoin!
Demain si Mark gagne il remporte ce Tour...

Chapitre 5 : Euh… Pas de titre

4 Février 2007

Nous sommes enfin de retour à Berlin, victorieux sur les terres africaines, toute l’Allemagne est fière de notre équipe. Je n’ai jamais vu Bob aussi heureux qu’ajourd’hui et dans l’équipe il règne une ambiance magnifique.
Les coureurs qui étaient partis au Qatar sont au repos pendant quelques jours avant de reprendre l’entraînement normal ou de se préparer pour certains au Tour de Californie.
Le groupe qui doit participé au Tour de Majorque est bien en jambes, et je commence des aujourd’hui la préparation pour le GP Méditerranéen, ou Gerdemann sera notre leader. Nous voulons lui apprendre un peu plus à courir en leader, est Axel Merckx sera son lieutnant.
Pour le Tour de Majorque, mon adjoint Jim sera le directeur sportif de l’équipe, il a toute ma confiance pour mener notre leader sur ce tour, Lorenzo Bernucci à faire une bonne place malgré une grande concurrence, notamment Valverde et Cobo.
Je suis très fier de Ciolek, il à beaucoup progressé et à très bien mener Mark à la victoire.

14h00

Je retrouve l’équipe au centre, chacun vaque à ces occupations, jeux vidéos, film, vélo, baby foot…Je pense alors qu’il est tant de faire la rencontre de deux recrues de l’équipe, Juan Gomis et Adolfo Garcia Quesada. Ils sont bien acceptés dans l’équipe mais il y a toujours la barrière de la langue, donc ils sont souvent en retrait et toujours ensemble.
- Alors Juan comment te sens tu en Allemagne ?
- C’est un mode de vie complètement différent à l’Espagne, mais ici les gens sont formidable et très ouvert d’esprit.
- Oui c’est ça l’Allemagne !
- Le soleil me manque un peu quand même, tu sais que tu es prévu pour le Tour de Majorque !
- Oui ça me fera du pays de retrouvé un peu le pays !

20h00

Je retrouve toute l’équipe dans la salle de conférence pour annoncé le programme des jours suivants :
- Alors prochainement on va participé au Tour de Majorque, avec Jim les gars qui partent sont Bernucci, Pinotti, Burghartd, Eisel, Guerini, pour les autres on verras plus tars. Il y aurat 2 étapes de plat pour Eisel, meme si les jambes ne sont pas trop la, fait de ton mieux. Après vous aidez Bernucci au mieux pour faire une place, pourquoi pas un podium.
- Ce qui partent avec moi au GP Méditerranéen sont Merckx, Knaven, Gerdemann, Ciolek, Henderson, Grabsch, Barry et Ziegler. En tout trois étapes de plats, c’est pour Ciolek, cette fois c’est toi le leader alors tache d’assurer après ce que tu nous a montré ! La on est clair on vise la victoire pour Linus, Axel tu seras son lieutnant et les autres faudra tout faire pour le protéger. Première étapes, le contre la montre par équipe. Il faut prendre le maillot dans l’équipe des le début, ça devrait être facile, les français sont nul en contre la montre.

Les 10 jours nous séparant de notre départ en France passèrent vites. Juan et Adolfo prennent des cours d’allemand, ce qui fait le bonheur de Kim Kirchen, le rigolo de l’équipe, car leur accent espagnol ne colle pas du tout à notre langue !
Je profita de ce petit temps de repos pour penser un peu à moi, je vendis ma petite villa pour m’acheter un appartement luxueux et moderne dans le centre de Berlin, et un maison proche du centre d’entraînement de la T-Mobile.
Rendez vous le 14 Février dans le sud de la France pour le contre la montre par équipe, 1ere étape du GP Méditerranéen.

Chapitre 6 : Gp Méditerranéen

15 Février 2007

Me voici à Gruissan, petit port du sud de la France, ville paisible et douce ou nous nous retrouvons pour la première étape de ce GP Méditerranéen qui nous mèneras au bout de 6 étapes en Italie, à San Remo.
Je suis assez optimiste, nous venons ici avec un objectif en tête, la victoire finale de Linus Gerdemann. La concurrence n’est pas trop dure, mais les jambes en se début de saison sont lourdes, à moi de motiver les troupes pour que cet objectifs soit rempli et ramené en Allemagne ce deuxième trophée de l’année en deux courses, bilan plus que positif en prévision. Méfions nous tout de même, une surprise est vite arrivé.

C’est parti pour ce contre la montre de 26 kilomètre, proposant une bonne bosse vers le milieu du parcours. Tracé idéal pour nos grimpeurs rouleurs, ça part bien, tout le monde tourne bien et nous passons au premier intermédiaire avec 8 seconde d’avance sur Cofidis, petite surprise.
Confiant, j’encourage mes coureurs vers la victoire finale, Linus Gerdemann passe en tête sur la ligne d’arrivée avec 22 seconde sur l’équipe suivante.

Ce Grand Prix Méditerranéen commence bien, Linus me confie ces impressions le soir au repas :
- On à bien tourner, nous étions tous solidaire, je n’ai jamais connu une ambiance pareille et un tel état d’esprit, je sais que je peux compter sur chacun d’eux, et j’ai les conditions parfaite pour gagner ici.
- C’est vrai, c’est un bonheur de travailler ici avec vous, des victoires prodigieuse nous attendes…

Le lendemain, étape 2, le soleil est au rendez vous pour cet étape plate de 107 kilomètre, je vais essayer de poussez le jeune Gérald vers une victoire qu’il mérite. Dans l’équipe tout le monde à le sourire, je retrouve l’équipe dans le bus vers midi, avant qu’il signe la feuille de départ et avant de partir Narbonne pour rejoindre Agde.
- Bon les gars, aujourd’hui il faut protéger Linus de tout incident, et essayer d’amener Gérald à une bonne place, voilà il se passera pas grand chose aujourd’hui, sûrement une échappée pour prendre les points de la montagne, on roule pas, on se fatigue pas pour rien la Predictor qui à des équipiers pour Steels, alors on les laisses bosser. Voilà bonne chance et faites pas trop les beau sur le podium !

En effet le départ vu dépourvu d’action, une échappée matinale s’en va, reprise à 40 kilomètre du but. Nous passâmes la journée avec Tom à plaisantez et donner les bidons à Michael ( Barry ), pour qu’il ravitaille le troupeau.
10 kilomètre, enfin, un peu d’action, mais toujours la routine … :

- Allez les gars c’est le moment pour placer Gérald, Axel et Linus, vous, vous restez en place.
Gérald, la bonne roue c’est celle de Tom Steels, des que tu le vois tu taches plus ça roue.
- Ok ok !

2 kilomètre, le sprint arrive, Gérald a pris non sans joué des coudes la roue de Tom Steels, bien amené par Brandt qui fait un gros boulot sort Steels seul en tete, 200 mètres, Gérald ce décale avec un coup de rein puissant, il remonte centimètre par centimètre, 50 mètres, il reste la roue avant de Steels, 20 mètres, 10 mètres, une demi roue, 5 mètres. Victoire de Tom Steels devant Gérald Ciolek.

Chapitre 5 : GP Méditerranéen

16 Février 2007

Ce jour s’annonce prometteur, nous sommes plus que confiant sur les chances de Linus sur ce col de 1 catégorie : le mont Faron. Axel roulera au pied du col à fond afin d’éviter des attaques, et si son relais n’est pas assez appuyer il partira en éclaireur pour servir de relais à Linus lors de son attaque.
10 heures, les oiseaux chantent, le soleil brille malgré la saison et nous sommes tous heureux d’etre ici, les coureurs tournent les jambes doucement pendant que je m’occupe à répondre aux questions des différents journalistes, dont un français me fit particulièrement rire :
- Jordi, n’avez vous pas peur qu’avec vos excellent résultats et votre peu d’expérience, le monde du cyclisme ce pose des question sur vos performances ?
- Et bien j’espère enfet qu’on ce pose des questions, et qu’on puisse ce dire qu’on peut réussir dans le cyclisme tout en étant propre.
Le journaliste paru déçu d’avoir raté son objectif, me mettre dans l’embarras et poser des soupçons de dopage sur mes coureurs…Alala, c’est français…

L’étape est sur le point de partir, finit de flatter les relations je dois préparer l’équipe pour cette étape décisive en laquelle nous avons placer beaucoup d’espoir :
Alors les gars, aujourd’hui arrivé au Mont Faron, toute l’ équipe roule pour reprendre les échappés apart Axel qui se réserve pour la dernière difficulté. Pas besoin d’attaquer forcement, mais si beaucoup de monde part vas falloir contrer.
Voilà y a rien de plus à dire !

C’est parti, c’est une route agréable ou nous pouvons contempler le paysage lorsque la course s’endort, ce qui fut le cas après le départ de l’échappée matinale. On impose un petit rythme mais les échappées, résistant prennent pas mal de temps :
- Tout le monde roule à fond apart Axel allez allez sinon on les reprendra pas !
Un train rose se trouve maintenant à l’avant, le rythme est très élevé est l’écrémage par l’arrière commence. 50 kilomètre, les échappées sont maintenant à trois minutes du peloton, plus de souci de ce coté la.

20 kilomètre, la dernière difficulté approche, les gars roulent toujours mais certain commence à être dans le rouge :
Allez on lâche pas faut s’accroché jusqu’au pied du col allez allez allez c’est bien !
Les échappées seront repris in extrémiste avant le pied du col, à 10 kilomètres du sommet.
- C’est bon vous pouvez vous relevez, beau boulot les gars finissez tranquille maintenant merci à tous. Axel c’est à toi de joué maintenant…
Axel se dirigea à l’avant du groupe et commença avec un rythme assez soutenue pour faire un premier écrémage. Mais des le premier kilomètre de l’ascension, 6 coureurs attaque, et pas des moindre, notamment Tem Dam, Tschopp, Moncoutié. Rapidement, ce petit groupe ce trouva avec une centaine de mètre d’avance sur le peloton :
- Merkcx vas y attaque ! attaque ! et après tu aides Linus !
Ne pouvant pas reprendre seul 6 coureurs, je fis attaqué Axel, qui servira plus tard de relais à Linus.

L’écart stagna autour de 40 secondes avant qu’une autre équipe prenne en charge la poursuite, il reste alors 4 kilomètre d’ascension, c’est le moment pour Linus de partir, l’écart ne diminuant toujours pas :
- Linus sa reviendra pas faut que tu partes tu peux revenir allez !

Des mes paroles prononcés Linus, d’un coup de rein se décala sur le coté et porta une attaque franche, le peloton, battu, ne reviendra plus à l’avant.
Linus, plus efficace que jamais prit rien qu’avec son attaque 20 seconde au groupe de tête et les a maintenant en point de pire.
Axel en équipier modèle se laisse décramponné de quelque mettre afin de remonté Linus le plus vite possible.
Johan Tschopp tenta une attaque ca grande conviction, et Axel se mit à roulé avec Tem Dam une fois arrivé dans le groupe. Tschopp fut repris, cette étape aller se finir au sprint. 1 kilomètre maintenant, Axel mène le groupe le plus rapidement qu’il peut, alors que Linus tient bien sa roue, surveillant les autres.
Cioni lance le sprint de derrière au 200 mètre, Ten Dam prends sa roue, Merkcx et Linus ne réagissent pas, inintéréssé par le sprint.
Cioni s’impose devan Tem Dam et Moncoutié. Gerdemann garde le maillot, sur de la victoire avec un solide écart maintenant, Axel lui est deuxième au général.
Bilan encore positif pour la T-Mobile, merveilleuse aventure que la T-Mobile pour moi, le soir nous fîmes la fête, avec modération tout de même. A cette bonne journée se joignit la 3eme place de Bernucci sur le Tour de Majorque, et la victoire du maillot de la montagne par Pinotti. La T-Mobile des grandes saison est la.

Je suis sur que personne a tout lu mdr

Pres pour de nouvelle sannées de dopage au sein de cette equipe.

TG ?

Ah merde desoler je m'en rappellez plus.

Non juste que T-Mobile lutte maintenant contre le dopage autant qu'une équipe française donc ca fait un peu pitié de dire ca ...

Oui mais bon je les connais tu verra et si GERDEMAN....

Et si Moreau ...

Oui sa c'est une certitude j'en doute pas mais il masque bien son jeu deux fois dans le grupetto

Oué, il est tombé exprès pour que ca lui fasse une excuse ...

pour ton recit mais des screens aussi parce le simages sa donne envie de lire a fond de comprendre de s'imaginer ta carriere.

oué mais le probleme c'est que je passe deja beaucoups de temps pour noté les trucs important, ecrire la story si en plus je repasse le replay pour les screens :s

topic perles?^^

C'est long c'est tout..

Ba avez jamais lu un livre de votre vie ?

non